Le creux du plat est entièrement occupé par un écu portant un coq. Sur le chanfrein et sur l'aile s'étendent deux doubles rangées d'écailles. Puis, à la bordure court un bandeau imitant le décor épigraphique, sans qu'il soit possible d'y reconnaître des lettres. Au revers, une arabesque est entourée d'un bandeau de réglisses des bois.
Acquis en 1848.