À partir du 13e siècle, les monuments funéraires comportent volontiers des figures animalières, souvent placées aux pieds des gisants. Si le lion, symbole de force, de courage et même du Christ, accompagne les rois et les chevaliers, un chien ou un couple de chiens, animaux réputés pour leur fidélité, veille auprès des gisants féminins. Il peut en aller de même pour les religieux, qui se doivent d’être fidèles à leurs vœux.